Rendez-vous avec les condors

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Il y a une dizaine de jours, lors de notre séjour à Arequipa, nous avons fait une escapade dans le canyon de Colca (cañón del Colca en espagnol). C’est le rendez-vous incontournable pour qui veut observer les condors. Et il faut croire que beaucoup, beaucoup de personnes s’intéressent à leur vol majestueux : un flot de bus et de minibus sillonne le canyon. Et nous au milieu, donc !

Sur la route du canyon, le « mirador de los Andes », à 4900 mètres, offre une vue extraordinaire sur les volcans de la région, dont les trois qui entourent Arequipa.

Sur la route du canyon, à 4900 m

En route, nous observons aussi les vigognes (sauvages), alpagas et lamas (domestiqués).

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Après une mauvaise nuit dans le village de Chivay (le « soroche », le mal de l’altitude, ne nous a pas ratés et nous avons très peu dormi), nous prenons à 6 heures du matin la direction de la Cruz del condor, point d’observation surplombant le canyon.

Après quelques arrêts dans les villages de la vallée, nous y voici. Et les condors aussi ! Ils sont très nombreux : petits, femelles, mâles s’élancent et planent au gré des courants de vent dans le canyon. Nous oublions vite les nombreux autres touristes qui nous entourent et prenons un réel plaisir à obrserver les oiseaux.  Le terme de vol majestueux n’est vraiment pas galvaudé !

6 Comment

  1. Paul says:

    Passer sa vie à planer sans payer une heure de vol!

  2. Lise says:

    Whaou quelle beauté !! Et quelle bouffée d’air pur, nous qui vous lisont enfermés entre les murs parisiens, des photos qui donnent des ailes

  3. Lise says:

    *lisons !!! (Il est tard…)

    1. Nolwenn says:

      😉

  4. seb says:

    Quand le condor passe, les mots trépassent… Ok. ça fait Cantona… N’empêche qu’à chaque visite c’est un voyage. Je ressens presque le mal de l’altitude… Photos magnifiques mais au-delà de la magnififience des lieux. Votre complicité et votre amour font chaud au cœur… Des bécots…

  5. seb says:

    Magnificence… moi j’ai même pas l’excuse qu’il soit tard ! Ni même celle d’un apéro trop chargé… la honte !

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